Publié le 8 Janvier 2015

 

November 3rd 1914

 

My dearest John,

 

You left two months ago and I miss you. Days without you appear never-ending, your words, your smile, I miss them. Here, Brian is fine. Yesterday, he made his first step: it is so sad that you're not here to see our son growing up. My days are empty, there is only Brian who can distract me. But you know what? I'm two months pregnant.

What about you, how are you? I keep waiting for your letter but I am very worried because you promised me you would be back after a week but you're not here two months later. Brian is looking for you everywhere. I suppose he misses his father.

You don't say anything about the fight in your letters. You always talk about useless things, like your companion's last joke, or ask me to send you a new packet of cigarette because you don't have any left. Sometimes, I have the feeling that the eastern front is quite comfortable, that you do not suffer shortages of food and that you are fine over there, that fights are not so hard and that everything goes well.

I love you so much.

Jenny

 

 

 

Mathilde – Janick 1L

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Publié dans #It's a Long Way to Tipperary - 2014

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Publié le 8 Janvier 2015

 

A tribute to a war hero

 

We are all here today in honor of this hero, this soldier, our father, our husband, our brother, our son, our friend, who has gone too early. The war killed him, he died as a hero and he will always be a hero. He fought for our country, he risked his life for us. I have never known in my whole life anybody as courageous, fearless and committed as him. Since his childhood, he has always been determined, he has always taken up challenges and has always gone beyond his limits. You are a role model for the people and you will always stay in our hearts and memories. In the name of our country, thank you and god bless you.

 

                                                                                                                           

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                                                                                           Sophie - Maryne 1L

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Publié le 8 Janvier 2015

 

A tribute to John O'Connell

 

 

 

We wish to pay a tribute to John O'Connell, a famous soldier, for his family and his friends who have seen him go and fight the first world war and who haven't seen him come back. John was a brave man, he has defeated 20 Germans alone. He has fought for his country, he was ready to risk his life to save his companions, to save his country and his regiment. He has gone beyond his limits and overcome difficulties to achieve his goal. His death has affected us because he was the leader of the regiment. He was also courageous because he has given his life for his country. So, he was a brave man whose actions were extraordinary.

 

I offer my sincere condolences to his family and friends.

 

Marine – Salomé 1L

 

 

 

 

 

 

 

 

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Publié le 5 Décembre 2014

         Les élèves de 1L et quelques élèves de 1ES1 ont participé à un concours de critique littéraire organisé par l'association "le Bruit de lire". Une dotation de la région Bretagne a permis d'acquérir l'ensemble des titres qui ont fait l'actualité de la rentrée littéraire 2014. 

Venez les découvrir au C.D.I. et laissez-vous tenter...

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Publié le 3 Décembre 2014

De la bestialité des hommes

 

       Parce que né en captivité du viol d'une femme par un ours, le narrateur est habité d'une double identité : il est mi-homme mi-animal. Alors que les hommes ne voient en lui que la bête, les femmes « ont vu l'homme et ont vu l'ours réunis sous la même peau. » Une force mystérieuse les attire mutuellement... Cependant, la lâcheté des femmes laisse libre place à la brutalité des hommes auxquels notre héros est soumis. Exploité par différents maîtres tous plus barbares les uns que les autres, cet « hybride monstrueux » nous raconte sa triste histoire d'ours de foire, de combat, de cirque, de zoo et, pour finir, de laboratoire. A travers son existence, il nous livre ses réflexions avec un regard neuf et unique sur la nature humaine et le sentiment animal.

        Dans ce roman en forme de conte, Joy Sorman cherche à montrer l'humanité chez les animaux et la bestialité chez les hommes, ou comment la frontière est poreuse entre le monde animal et la condition humaine. Dans ce cas, comment expliquer notre attitude envers nos « frères animaux » ? Elle nous offre l'occasion d'une remise en question en posant le délicat problème du traitement des animaux. Plus encore, l'auteure nous pousse à nous interroger sur l'existence de la conscience animale dont l'étude intéresse de plus en plus la communauté scientifique. La peau de l'ours dérange notre conscience, bouleverse nos certitudes et nous oblige à nous remettre en question : qui des hommes et des animaux sont les vraies « bêtes » ?

        Le titre évoque la fin du récit dans un raccourci saisissant : il s'agit de la dépouille mortelle du héros, de ce qui subsiste de lui quand tout est fini. Ce titre cynique est trompeur, il en cache un autre car, en réalité, c'est dans la peau d'un ours que le narrateur explore, à la manière d'un ethnologue, le monde des hommes. Joy Sorman brouille les pistes et inverse les rôles dans ce troublant récit qui nous fait perdre nos repères traditionnels.

      Dotée d'une sensibilité presque animale, l'auteure utilise un style aussi efficace que riche et sensuel pour nous emporter dans ce conte cruel où le fantastique et le réalisme s'entremêlent.

             Anna, 1L

 

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Publié le 27 Novembre 2014

Le sang des Peaux Rouges.

 

        Éric Vuillard exerce deux métiers dans la Tristesse de la Terre. A la fois historien et romancier, l'auteur rend compte de faits avérés et apporte aussi des détails fictifs pour mieux nous transporter dans son univers. L’histoire principale se centre sur Buffalo Bill, de son vrai nom, William Cody.

Buffalo Bill était un cow-boy, c’est un fait. Il a combattu les Indiens durant de nombreuses batailles. Mais c’était aussi et surtout un employé de chemin de fer à qui on a un jour proposé de « jouer son rôle lui-même. » Il décide de mettre en scène des batailles opposant Indiens et Américains, dans le Wild West Show : la plus grosse machine à fric de l’époque minutieusement dirigée par un imposteur dont la « vie sera la parodie de sa vie. » Tous les jours, il rejoue sans cesse des combats qu’il n’a parfois pas vécus, devant un public qui en redemande encore et encore. « Ainsi on raconte que Buffalo Bill, ayant joué des dizaines de fois […] la bataille de Little Big Horn, croyait vraiment, à la fin de sa vie, y avoir participé. » Ce public ne pense pas une seconde qu’au moment où un acteur tombe de son cheval pour rendre la scène plus réaliste et attrayante, de vrais Indiens sont abattus. Ne pouvant plus se relever, ils mêlent leur existence à celle de la terre battue et sèche. Le titre, Tristesse de la Terre, parle de lui-même. Il est révélateur de toute la poésie présente dans le livre. Ce n'est pas tellement le mot « tristesse » qui conviendrait, mais plutôt « massacre de la Terre », une fois le livre refermé. Le plus ironique est sans doute la place des acteurs au sein du Wild West Show. Ils n’étaient pas recrutés au hasard, la plupart étaient Indiens et avaient vécu ce qu’ils mimaient. Ils rejouaient sans cesse leur mort pour un dollar par personne. Mais il y avait aussi de parfaits acteurs, au sens propre du terme, qui mettaient tout leur talent à rendre crédibles pour le public et pour eux-mêmes les « boniments qu’ils contaient » sans « jamais avoir mis un pied dans l’Ouest ».

Ce livre est bouleversant. Il s’agit moins de faire voyager le lecteur dans les contrées sauvages des États-Unis que de lui ouvrir les yeux sur ce que l’homme peut détruire, avant de se détruire lui-même. On est bien loin des contes pour enfants sur les Indiens et les cowboys, des arcs contre les fusils, des plumes contre les chapeaux… Là-bas, les « enfants pleurent » lorsque des policiers viennent décimer les dernières tribus indiennes qui ont fait ce que l’Amérique a de plus épique à raconter. D’une certaine façon, l'auteur dénonce les reality shows, ces spectacles qui abreuvent le spectateur de ce qu’il a envie de voir, sans jamais lui laisser le temps de réfléchir. Ils déshumanisent les acteurs alors que derrière les faux-semblants se cachent de vraies blessures. Il s'attaque aussi à l’industrie du spectacle en général et on ne sait plus vraiment qui est responsable : la demande toujours plus extravagante du public ou la soif d’argent des hommes d’affaires ? Éric Vuillard a la délicatesse des mots à résonance polémique. Il parvient à révolter le lecteur avec cette légèreté comparable à celle d'un danseur classique qui interpréterait la pire des tragédies. Tristesse de la Terre dérange nos certitudes et c’est sûrement ce qui en fait un bon livre.

Kelly, 1L

 

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Publié le 27 Novembre 2014

« Une légende vivante est une être mort. »

 

On connaît tous plus ou moins Buffalo Bill, de son vrai nom William Cody. C'est lui, qui a popularisé le chapeau stetson, le bandanna ou encore la chemise du cow-boy. Et contrairement à ce que l'on voit, les Indiens n'ont jamais fait « Whou ! Whou ! Whou ! » en se tapotant les lèvres comme le font tous les petits enfants qui jouent aux Indiens, « c'est une pure invention de Buffalo Bill ». Il est une figure mythique de la Conquête de l'Ouest.

 

Dans Tristesse de la terre, le romancier Eric Vuillard tire Buffalo bill de l'oubli. Cody, a été employé de chemin de fer et a fait naître le plus grand spectacle du monde nommé le Wild West Show. Il est devenu Buffalo Bill, et s'est effacé derrière les vestes à franges et les répliques de parades, oui, Cody était « mort ». Comme dit l'auteur, « une légende vivante est un être mort ». Cody

 

1883, début de la tournée du Wild West Show. Elle va se dérouler pendant une vingtaine d'années dans le monde entier. Une troupe de « huit cents personnes, cinq cent chevaux de selle et des dizaines de bisons ». Un spectacle fascinant où les vilains Indiens étaient vaincus chaque soir par d'héroïque cow-boys. Mais qu'est réellement ce show ? Quelle puissance attractive peut donc amener chaque jour quarante mille personnes à venir voir ce spectacle ? Comment révolutionner l'art du divertissement et stupéfier le public en racontant une histoire ? C'est ce que des millions d'Américains d'abord, puis d'Européens avaient envie d'entendre... Il y a du « mouvement et de l'action », la « réalité elle même ». Tout y est ! Le public vient toujours plus nombreux applaudissant, riant, criant, tout entier captivé », fasciné. Il faut surprendre ce public par une intuition de la mort qui ne quittera plus le spectacle. En un mot, c'est l'acte de naissance du show-business.

 

A travers ces lignes rythmées et aérées, Vuillard nous montre qu'à force de mensonges notre Buffalo Bill finit par croire aux siens et se construit une image de héros qu'il n'a jamais été. « Sa vie sera la parodie de sa vie, en quelque sorte, une autre vie fabriquée, promise à d'autres ». Les anecdotes attachées à ce livre sont passionnantes. Elles sont accompagnées de photographies de l'époque, ce qui nous émeut d'autant plus et nous procure des sentiments très forts.

 

Maryne, 1L

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Publié le 27 Novembre 2014

La beauté du diable

       Il est difficile de réinventer le personnage d'Aliénor d'Aquitaine mais c'est le défi audacieux que s'est lancé Clara Dupont-Monod. Elle se saisit de cette légende qui a souvent fait fantasmer et immerge le lecteur dans la complexité du personnage d'Aliénor. On se retrouve donc dans la vie de cette femme redoutée et respectée, qui a alimenté toutes les conversations du peuple et semé le trouble dans les mœurs. Mais c'est aussi un récit à l'allure médiévale qui retrace et réécrit les quinze premières années de la vie conjugale de cette reine. Enfin l'auteure nous dévoile un amour impossible entre ce duo improbable qu'est Aliénor d'Aquitaine et Louis XII. Ainsi, nous sommes plongés dans ce roman et libres de nous faire notre propre idée de cette femme qui a tenu en haleine l'Europe entière durant toute sa vie.

       En Aquitaine vit une légende, une princesse sans pareil. On l'a décrit libre, conquérante, sorcière aux pouvoirs uniques et à la perfide manipulation. Ainsi est dressé le portrait d'Aliénor. Mais avant de devenir ce personnage, elle n'était qu'une jeune fille qui, à l'âge de quatorze ans se voit obligée d'épouser Louis XII futur roi de France. Après avoir quitté ses terres, ses repères, elle est complètement déstabilisée. Arrivée à Paris, c'est la désillusion. Les premières années auprès de Louis se révèlent chaotiques. La jeune femme est ambitieuse, libre d'esprit, elle rêve de gloire et de domination. En revanche, Louis est un homme pieux. Il suit le pape et l’Église aveuglément. Il est destiné prématurément à la succession de son frère aîné, Philippe, mort trop tôt. Le roi « n'est pas un homme de colère mais de mots » : il rêve d'apaisement et de sérénité. Tout le contraire d'Aliénor. Elle vit le mariage comme une lutte. Pour elle, l'amour est un secret dont elle-même ne doit être mise au courant. Pour Louis, cette idylle est comme la conquête de celle dont il est tombé amoureux au premier regard.

       Ce roman est centré sur l'histoire d'amour de ces deux personnages, mais pas uniquement. L'auteure nous conte l'histoire de France au XIIème siècle, les joyaux de la couronne et ses contrastes. De plus elle décrit la place très importante qu'occupe la religion dans la société médiévale.

       Dans une langue somptueuse et ardente Clara Dupont-Monod exprime les sentiments des personnages principaux. Ainsi, dans Le roi disait que j'étais diable, il y a une narration à double voix, dissonantes et discordantes. Les personnages sont en lutte continuelle, le dialogue est impossible. «Je t'ai aimé aussitôt et, dans le même instant, tu m'as effrayé. C'était un mélange de perte et d'offrande. Un seul visage pouvait provoquer le ciel, attirer ses extrêmes. Mes guerres perdues, c'était toi. Et jamais je n'ai pensé qu'une défaite pouvait être aussi belle » Ce récit est un singulier portrait de cette femme, à la fois créature mythologique et créature avant-gardiste .C'est donc avec plaisir que l'on s'égare dans ce roman.

Janick, 1L

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Publié le 17 Novembre 2014

Un mariage dit impossible..

 

        Nous sommes au Moyen-âge. Aliénor d’Aquitaine épouse Louis VII. Le mariage amène parfoischacun des époux à tolérer l'insupportable de l'autre, maisce n’est pas le cas ici. Louis est un homme au caractère trop paisible qui préfère les paroles aux actions. Aliénor est tout le contraire : elle est forte et combative. On peut dire que c'est elle qui porte la couronne au sein du couple. Elle est détestéedu peuple etdevient la cible d'accusations : « La voilà, celle qui possède dix fois le royaume de France. Celle qui donne des ordres, chevauche comme un homme et ne craint pas le désir qu’elle suscite. Qui colore ses robes. N’attache pas ses cheveux ». Elle n’est pas la bienvenue etsa présence dérange. De plus, elle est décrite comme une fille ambitieuse, fragile,avec un amour impossible pour Louis VII. « On me dit jolie, turbulente, ambitieuse». Tout de suite, elle sait que cet homme ne lui convient pas.

        La façon dont est racontée cette période historique estfabuleuse,car elle mêleles éléments historiques auxémotions. Le récit est fait de courtes phrases rythméesqui lui donnent beaucoup de vie : « Il est venu me chercher. J’étais si jeune alors ». Les voix d’Aliénor et de Louis se chevauchent sans jamais se rencontrer. Cela entraîne peut-être la fin de leur couple, ils ne se comprennent pas et sont toujours en désaccord.

        Du haut de ses treize ans, Aliénor se rend compte qu’ils seront pour toujours ensemble. Tout s’enchaîne très vite, par la suite. Ils se marient malgré leurs différences. Mais la vraie question est de savoir s'ils se sont mariés par obligation ou s'ils sont tombés vraiment amoureux.

        Ce livre est captivant, car Clara Dupont-Monod nous fait découvrir une façon différente de voir le Moyen-âge. Elle sait nous faire oublier cette époque comme on se l'imagine, l'histoire européenne qui débute avec l’effondrement de l'Empire Romain d'Occident et se termine par la Renaissance et les Grandes Découvertes. Elle fait revivre le Paris d'alors, ses odeurs et ses habitants, mais aussi les campagnes. Elle sait parler decetteépoque tout en l’animant. Il s'agit moins d'un roman historique que d'une histoire d'amour non partagée. Et si finalement, leur amour était possible...

Marine 1L.

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Publié le 17 Novembre 2014

« Vie ? Ou Théâtre ? »

            Pour survivre, elle doit peindre son histoire. C'est la seule issue. Son unique échappatoire.

 

      C'est sur les notes douces d'un piano que l'on découvre la vie qu'a menée la jeune allemande nommée Charlotte Salomon. Charlotte, c'est un peu l'incarnation même du charme, de l'étrangeté. C'est l'allégorie de la beauté mélancolique.

      David Foenkinos a su, d'une écriture à la fois légère, poétique et cinglante, retracer le chemin bouleversant qu'a suivi l'artiste peintre juive, durant vingt-six ans. C'est d'une main de maître que l'auteur a jonglé avec les mots, donnant ainsi naissance à un théâtre où l'humiliation, la peur et la cruauté sont les personnages principaux. Et si les sentiments les plus noirs, les plus sombres animent et envahissent la scène de toute une vie – une vie courte, une vie brève – les pensées les plus nobles s'installent en nous, à mesure que les pages s'enchaînent.

       C'est ainsi que l'on reconnaît les belles œuvres, les œuvres utiles : lorsqu'elles révèlent au lecteur que l'amour, la compassion, l'admiration et le respect sont omniprésents et que même en traversant l'horreur, il faut être optimiste, essayer de se convaincre que la haine est périssable.

        Finalement, après avoir écoulé l'encre, épuisé la musique et vidé les pots de peintures qui accompagnent ce trésor littéraire... on replie l'histoire sur elle-même, on s'accroche une fois encore à la couverture, au titre rempli de mystère, pour enfin reposer l'œuvre sur sa table de chevet, la culpabilité au cœur.

Valentine, 1ES1charlotte-david-foenkinos-L-HZft1e

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