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Publié le 5 Mai 2023

Les élèves de seconde de l’Elorn participent au printemps des poètes | OUEST-FRANCE

Les élèves de seconde de l’Elorn participent au printemps des poètes | OUEST-FRANCE

La tradition est désormais bien ancrée au lycée de l’Elorn de Landerneau (Finistère) : les beaux jours voient le retour du Printemps des poètes.

Au programme, une rencontre entre des élèves de première générale et le poète bordelais Christophe Manon, pour son recueil Provisoires, mais l’actualité sociale des dernières semaines a eu raison de cet événement organisé par la Maison de la poésie de Rennes.

 

Balade poétique

Les élèves des secondes A et D ont plus de chance. Juste avant les vacances, ils ont fait une balade poétique dans les rues de Landerneau, guidés par Hervé Eléouet. Celui-ci se définit comme un poète public féru de battles poétiques, il crée aussi des poèmes à la demande dans les salons artistiques de la région. 

Le principe de la balade poétique est simple. Il s agit d’arpenter les rues de la ville et de saisir tous les prétextes pour citer des auteurs ou composer des poèmes inspirés par les lieux. Une autre manière d’appréhender la réalité qui nous entoure.

 

Faire passer une émotion

Cette escapade poétique se prolonge dès cette semaine avec un travail mené par la metteuse en scène Martine Geffrault-Cadec. Il s’agit cette fois d’apprendre à dire des textes, de faire passer une émotion. Trois séances sont prévues avant l’enregistrement des poèmes, à la fin du mois de mai 2023.

« Nous avons retenu le thème des frontières, à l’honneur pour la 25e édition du Printemps des poètes. On y retrouvera des textes d’auteurs passés par le lycée de l’Elorn ces dernières années, comme Albane Gellé ou Mickaël Glück, grâce à la médiation de la Maison de la poésie. »

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Publié le 6 Mars 2023

Prévue le 7 mars, la rencontre entre Christophe Manon et les élèves de 1G6 est annulée. On trouvera ci-dessous des impressions de lecture sur son recueil Provisoires. Mais le travail de préparation n'est pas perdu : dans quelques jours, le poète répondra aux questions des élèves dans une série de capsules audio qui seront diffusées en classe.

Source : https://circulodepoesia.com/2021/02/poesia-francesa-christophe-manon-2/

Source : https://circulodepoesia.com/2021/02/poesia-francesa-christophe-manon-2/

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Publié le 5 Mars 2023

Christophe Manon, Provisoires, Editions Nous, 2022

Christophe Manon, Provisoires, Editions Nous, 2022

J’ai trouvé les poèmes des pages 12 et 25 intéressants. L’auteur évoque souvent des souvenirs, comme s’il vivait la vie de manière immobile, retenu par le passé. Cependant, page 12, on comprend qu’il parle de l’instant présent, d'une vague d’inspiration soudaine. C’est donc l’écriture de poèmes qui le fait vivre.

Page 25, on lit « que nous passons comme vapeurs qu’un peu de vent dissipe ». Cette métaphore exprime la fugacité de la vie humaine. A la suite de ces vers, on peut voir que « nous vivons (…) sans même soupçonner l’émouvante beauté des escarpements ». C’est peut-être une manière de dire qu’en vivant nous avons oublié de prendre le temps d’apprécier la beauté des choses.

Mona, 1G6

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J'ai choisi les poèmes 14 et 17 de la première partie, car ils affirment que nous sommes seuls jusqu’au moment ou nous trouvons l’amour de notre vie « Seuls […] lorsque nos mains s’émeuvent au contact d’un autre épiderme ». Je trouve ces poèmes émouvants.

Deuxième partie : les poèmes 31 et 32 sont écrits d’une manière assez étrange, on ne comprend pas vraiment le sens à la première lecture, il faut vraiment faire un gros travail de compréhension. C’est cette complexité qui m’a plu.

Troisième partie : les poèmes 49 et 50 sont inspirants. Ils nous disent qu’il faut « célébrer le jour […] avant de mordre la poussière ». Cette métaphore désigne en réalité la vie. Il faut profiter du jour présent avant de ne plus en avoir l’occasion.

Tom, 1G6

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Série 1/ poèmes 15/17

Ces poèmes expriment des sentiments d'amour puissants : « Lorsque nos mains s'émeuvent au contact d'un autre épiderme au point de ne plus reconnaître ». Cela exprime une certaine dépendance amoureuse, pleine de nostalgie. Le contact physique et les peurs sont mis en valeur. Quand on lit « la stupeur exigeante d'aimer ce ne peut être qu'une minuscule bulle d'angoisse oubliée », on comprend que pour l'auteur l'amour est plein de questionnement.

 

Série 4/ poèmes 64/66

« Poser le masque et partir » est une phrase qui fait penser à l'acceptation de la mort. Ici la remise en question est au premier plan, c'est peut-être le chemin vers l'acceptation de la perte. Toutes ces questions peuvent faire partie d'un deuil, les phrases « à quoi bon se débattre […] à quoi bon se démener » expriment  peut-être des phases de colère ou de dépression présentes dans la reconstruction liée aux souffrances passées.

Julie, 1G6

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La deuxième section évoque des souvenirs, j’ai beaucoup aimé les poèmes  des pages 31 et 38 qui décrivent le passé avec une forme de nostalgie.

Dans la troisième partie, j’ai sélectionné deux poèmes que je trouve intéressants, pages 46 et 47 : il y a de nombreux enjambements, le vers continue sur le suivant. C’est très perturbant, car le manque de ponctuation peut donner plusieurs sens aux phrases. La compréhension n’est pas univoque.

Enfin, dans la section 4, celle que j’ai préférée, j’ai sélectionné les poèmes des pages 58 et 64. Contrairement à de nombreux autres, celui de la page 64 est clair et utilise des questions rhétoriques montrant le désespoir. J’ai beaucoup aimé la simplicité de celui de la page 58 et son assonance en « é » qui permet une lecture agréable.

Célia, 1G6

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Publié le 5 Mars 2023

La première partie est composée de poèmes assez longs. Ils évoquent la découverte du désir.

La deuxième partie est composée de poèmes de même taille. Ils évoquent le temps et plus particulièrement la mort ainsi que les souvenirs. Ils sont écrits de manière énigmatique. En effet, les vers n’ont pas tous de sens grammatical (Exemple p. 40, v1 : « la balançoire ou veux-tu t’y roule dans l’herbe »).

Dans la troisième partie, chaque vers est espacé d’un saut de ligne et les poèmes sont de taille moyenne, environ une douzaine de vers chacun. Ils évoquent encore la mort.

Dans la quatrième partie, les poèmes sont plus courts et parlent des défauts des humains, « chétives créatures ».

La dernière partie est composée de longs poèmes, d'une vingtaine de vers chacun. Ce sont des poèmes assez tristes, on a une impression de regrets et de remise en question.

Tom, 1G6

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Dans la première section, on retrouve beaucoup le thème de l’amour physique, avec notamment les mots « étreinte », « baiser », « corps » p. 11 ; « nos épidermes se frôlent »  p. 12 ; « nus » p. 18.

Dans la seconde section, il y a beaucoup de répétitions comme « peur » p. 36, « perdu » p. 38. Le thème de la nature y est prépondérant avec «cueillir […] les fraises / les petits pois » p. 39, « oiseaux », « pollen », « fleurir » p. 40, « tilleul », « herbe » et « fraises sauvages » p. 31. Les phrases sont particulièrement longues et ambiguës, comme si elles étaient construites à partir de plusieurs propositions mêlées.

Dans la troisième section, l’espacement entre les lignes est différent. On retrouve le thème de la mort avec les termes « morts » et « absence » p. 45, « le temps […] ne dure pas » et « paupières closes » p. 46 et « un nom taillé / dans la pierre et deux dates » p. 51 qui fait référence à une pierre tombale.

Dans la quatrième section, les poèmes sont particulièrement courts. Le thème de la mort y est aussi très présent : « mourir » p. 55, « notre obscur destin » p. 62, « quand cela cessera » p. 63, « il ne reste plus rien » p. 64.

Enfin, dans la cinquième section, les vers sont particulièrement longs. Les phrases sont déconstruites et n’ont ni majuscule, ni point. On retrouve « peut-être » dans les poèmes des pages 83 et 84.

Guillaume

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Christophe Manon n'utilise (presque) pas de ponctuation : la lecture est parfois difficile, mais cela relie tout le recueil, un peu comme en une longue phrase.

On relève beaucoup d'oxymores : « Petits et grands et beaux et laids […] faibles forts ». Ces oppositions ajoutent de la poésie et de l'extraordinaire. L'auteur fait plusieurs répétitions de mots clés comme « joie », « lumière », « nuit » ou encore « vie ». Cela l'accent sur ce qui est important.

Julie, 1G6

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Série 1 : Les émotions, l’amour et le désir. Chaque poème est une longue phrase complexe, mais agréable et fluide à lire, avec une majuscule et un point.

Série 2 : Pas de phrases visibles, lecture saccadée et sens compliqué à saisir. Sur les souvenirs, les regrets et le temps qui passe.

Série 3 : La mise en page est différente (sauts de lignes). Absences de phrases (majuscules, points). On perd facilement le fil, les vers se coupent à des endroits étranges, mais gardent une certaine cohérence. Cette section évoque le caractère éphémère de la vie, la mort inévitable et la quête d’un sens à la vie.

Série 4 : Poèmes et vers courts. Il y des phrases, l’auteur semble se parler à lui-même et réfléchir à voix haute. Il s'interroge sur la mort, sur le sens de la vie et sur sa fin.

Série 5 : Poèmes plus longs. L’auteur semble avoir trouvé une hypothèse sur les raisons qui nous poussent à vivre : l’espoir, les sensations, les rêves, les souvenirs et les désirs forment les émotions qui nous rendent vivants.

Maïlys, 1G6

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Publié le 5 Mars 2023

On remarque des similitudes dans chacune des sections ; mais ce qui les relie, c'est le manque de ponctuation, la brièveté des poèmes en vers libres ainsi que des émotions toujours intenses. Ces émotions sont répétitives, on retrouve notamment l’amour, le désarroi, la joie, la mort et encore la stupeur de vivre. Christophe Manon s’appuie aussi beaucoup sur des adjectifs (comme page 68) et des adverbes, tels que « rien », « toujours » ou « encore ».

Célia, 1G6

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Les thèmes principaux du recueil :

  • La détresse : “reviens s’il te plait j’ai peur j’ai froid j'ai grand / peur je suis tout peur de froid”.

  • Les souvenirs : “un jour un beau / jour c’était un jour jadis”.

  • La mort : “sonder l’espace à l’heure où le jour meurt ne résout pas les morts”.

  • L’amour : “Nous avons aimé et peut être / aimerons-nous encore”.

  • La vie : “de joie et de désarroi à la fois car chacun sait que la vie c’est ainsi c’est ainsi”.

Sarah, 1G6

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Les thèmes principaux sont l'amour, la vie et la mort. Dans la première série, on comprend qu'il est question d'amour. L'auteur fait des références à des baisers (« le souvenir d'une étreinte ou d'un baiser » et à l'acte de chair « les corps s'impatientent et dans leur frottements fébrile ».

Manon parle aussi de la mort et des douleurs. Lorsque qu'il écrit « nu de sang dans la bassine » ou « reviens s'il te plaît j'ai peur », on pense à la souffrance de perdre quelqu'un. La solitude est présente.

Tout au long du recueil, on a l'impression de suivre une histoire d'amour, empêchée par la mort.

Julie, 1G6

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Les thèmes principaux :

- Les souvenirs et le temps qui passe : « un instant ne dure pas » ; « les enfants nous sommes / toujours comme des enfants / tout va si vite si vite » ; « jour c’était un jour jadis » ; « c’était il y a longtemps c’est toujours » ; « je m’en souviens très bien ».

- L’amour et le désir : « nous nous consumons / sans plus laisser de trace qu’un baiser / déposé sur une surface vibrante » ; « nous avons aimé » ; « démunis et nus jusqu’à l’incandescence / les corps s’impatientent » ; « le souvenir d’une étreinte ou d’un baiser ».

- La mort : « j’irai fleurir leurs tombes » ; « les cimetières suspendus au-dessus de la brume » ; « s’il faut / à la fin n’être plus qu’un nom taillé / dans la pierre et deux dates » ; « et que nous creusons / sans même y prendre garde / la fosse /où nos os blanchiront ».

- Le doute : « peut-être » ; « à quoi bon » ;  « nul ne sait » ; « Ce monde qu’est-ce ? » ; « C’est à n’y rien comprendre ».

Maïlys, 1G6

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On distingue cinq sections. Elle abordent les thèmes des émotions, du souvenir, de l’amour, de la nature et du temps qui passe, et donc de la mort.

Il est difficile de comprendre les poèmes des pages 31, 32 et 36 en raison des mots étrangement placés. Peut-être est-ce une représentation des souvenirs, des pensées et des émotions qui défilent à toute vitesse, en désordre dans la tête.

Ensuite, on constate que les poèmes des pages 68, 69, 71 et 72 ont tous pour thématique le temps qui passe : « C’est tôt fini » et page 66, « la fête bat son plein (...) pourtant déjà ».

Christophe Manon voit la vie comme un bref instant, c’est pourquoi il choisit des vers courts.

Mona, 1G6

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L'intertextualité à l'oeuvre

Les poètes ont depuis toujours été intéressés par le thème du temps qui passe, comme en témoignent des expressions latines :

- « Tempus fugit » signifie que le temps s'écoule et passe vite. On retrouve ce thème dans Le testament de François Villon.

- La formule « Memento mori » ou « souviens-toi que tu vas mourir » a inspiré François Villon dans La ballade des pendus.

- « Carpe diem » signifie « cueille le jour ». Ce sont les mots qu'aurait prononcés Horace pour rappeler que la vie est courte et qu’il faut se hâter d’en profiter

Albin, 1G6

On retrouve le thème du temps qui passe dans les vanités du XVIIe siècle - Pierre CLAESZ, Vanité

On retrouve le thème du temps qui passe dans les vanités du XVIIe siècle - Pierre CLAESZ, Vanité

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Publié le 5 Mars 2023

"Provisoire" signifie « qui a lieu, existe, se fait pour un temps relativement court et sera vraisemblablement remplacé ». Dans le titre cet adjectif est au pluriel, il pourrait désigner les humains. En effet les poèmes de Christophe Manon questionnent notre fragilité et note vulnérabilité ; il écrit notamment « Seuls/si irrémédiablement seuls/et provisoires » « à la fin/tout s’efface/et disparait ». Nos vies sont éphémères.

Maïlys, 1G6

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L'adjectif « provisoire » se dit de "quelque chose qui n'existe, ne se fait que pour un temps limité en attendant quelque chose de définitif". Le fait que le recueil se nomme Provisoires peut nous faire penser que les poèmes ne sont pas destinés à perdurer dans le temps. Une autre explication serait que ces poèmes sont les fruits de réflexions ou d’instants vécus, qui ne sont pas éternels. Enfin, au regard de la prépondérance du thème de la mort dans le recueil, on peut se demander si ce n’est pas la vie qui est provisoire.

Guillaume, 1G6

 

Andy Warhol, Gun, 1981-1982. Victime d'une tentative d'assassinat, Andy Warhol s'en sort et "devient le seul peintre à concevoir une auto-vanité, puisque l'arme lui a prouvé que la vie est non seulement éphémère, mais imprévisible." Source : Télérama, "Natures mortes", hors-série d'octobre 2022

Andy Warhol, Gun, 1981-1982. Victime d'une tentative d'assassinat, Andy Warhol s'en sort et "devient le seul peintre à concevoir une auto-vanité, puisque l'arme lui a prouvé que la vie est non seulement éphémère, mais imprévisible." Source : Télérama, "Natures mortes", hors-série d'octobre 2022

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Publié le 5 Mars 2023

Christophe Manon est un poète bordelais né en 1971. Il est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages de poésie et de publications dans divers magazines ou revues, plus ou moins dédiés à la poésie. On y compte L’Armée noire ou encore Dernier Télégramme. Sous le pseudonyme de Gottfried Gröll, il a également publié Vie et opinion, un recueil de poésie inspiré du poète Anglais Laurence Stern, et un article nommé "Pareillement" sur le site internet revue.net. En 2015, il reçoit le prix de la révélation de printemps de la SGDL (Société des Gens de Lettres).

Recherches de Tom, 1G6

Source : https://www.marche-poesie.com/christophe-manon-3/

Source : https://www.marche-poesie.com/christophe-manon-3/

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Publié le 1 Mars 2023

Aujourd'hui, les élèves de 1G6 ont mis en commun leurs questions au poète Christophe Manon :

I – Sur le « métier de poète »

  1. Doit-on faire des études pour être poète ? Quelles études ? Où avez-vous étudié ?

  2. A quel moment vous êtes-vous dit que vous seriez poète ?

  3. Peut-on vivre du métier de poète ? Comment êtes-vous rémunéré ?

  4. Dans quelles conditions écrivez-vous et quand ? Quelle est la journée type d’un poète ?

  5. Comment trouvez-vous des contacts pour votre travail ?

 

II – Le rapport à l’écriture

  1. Combien de temps mettez-vous à écrire un poème ? Un recueil ?

  2. Comment trouvez-vous votre inspiration ?

  3. Pourquoi n’écrire que des poèmes ?

  4. Avez-vous écrit des textes que vous n’avez pas publiés ? A l’inverse, avez-vous regretté certaines publications ?

  5. Quelle est votre œuvre la plus célèbre ?

  6. Pourquoi avoir publié un de vos poèmes sous pseudonyme ?

  7. Quels sont vos prochains projets ?

 

III – Quelle conception de la poésie ?

  1. Quel est le but de la poésie ? de votre poésie ?

  2. Comment peut-on définir ce qui relève de la poésie ?

  3. Quels poètes vous inspirent ?

  4. Un poète pense-t-il à toutes les figures de style que le lecteur trouve ?

  5. Que pensez-vous des avancées de l’intelligence artificielle dans le domaine de l’écriture ? Cela vous fait-il peur ?

 

IV – Sur le recueil Provisoires

  1. Pourquoi avoir écrit ce recueil ?

  2. Pourquoi reprendre les thèmes du temps qui passe et du memento mori, alors qu’ils ont déjà été souvent traités ?

    1. En quoi renouvelez-vous ce thème ?

    2. L’écriture est-elle un exutoire ?

  3. Quelle signification donnez-vous au titre ?

  4. Pourquoi avoir cité Franz Kafka en ouverture ?

  5. Comment ce recueil est-il organisé ? Pourquoi ce découpage ?

  6. Dans la troisième section, la grammaire est bousculée, les phrases ne semblent pas avoir de sens. Qu’avez-vous voulu faire ?

  7. Pourquoi avoir supprimé (presque toute) la ponctuation ?

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Publié le 5 Février 2023

Prochaine édition du Printemps des poètes au lycée de l'Elorn au retour des vacances d'hiver : 

  • En 1ère, rencontre avec Christophe Manon, autour de son recueil Provisoires, avec le concours de la Maison de la poésie de Rennes.
  • En 2de, on retrouvera les ateliers de lecture à voix haute de Martine Geffrault-Cadec et les balades poétiques d'Hervé Eléouet.
Christophe Manon, Provisoires, Editions Nous, 2022

Christophe Manon, Provisoires, Editions Nous, 2022

Le printemps des poètes 2023 au lycée de l'Elorn
Le printemps des poètes 2023 au lycée de l'Elorn

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