Publié le 23 Mars 2016

« Il y a l'amour qui est toute notre vie et le ciel qui n'est pas toute notre vie, il y a que l'amour pour être toute notre vie , et devant l'amour on ferme les yeux à la vue alors que s'ouvre la vie, d'ailleurs, parfois nous l'adorons et nous voudrions l'embrasser , parfois nous adorons la Terre et nous voudrions embrasser le ciel, mais on ne peut. »

p.46

p.16

Noémie - 1L

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Rédigé par Noémie Le Quément - 1L

Publié dans #Printemps des poètes 2016 en 1ère

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Publié le 23 Mars 2016

           Le feu a une forme informe, informe est la forme du feu, les flammes du feu sont aussi informes que le feu, aussi informes que le feu sont les flammes du feu, le feu brûle à gogo les souvenirs, les souvenirs sont brûlés à gogo par le feu, rouge le feu, orange le feu, jaune le feu, jaune avec la flamme le feu, furieux le feu, le feu est rouge de colère, en colère le feu est, le feu détruit tout, rouge comme le diable le feu, tel un diable le feu, coléreux le feu, chaud le feu, le feu dégage une chaleur, le feu joue avec le feu, joueur est le feu, vous, le feu, deux, vous et le feu, sans lui le feu, vous sans lui le feu, le feu sans vous le feu, telle une cheminée ardente brûle le feu, des étincelles fait le feu, du feu font les étincelles, le feu est dans la tête, dans la tête, dans le cœur n'est pas le feu, le feu n'est pas dans le cœur, l'eau et les pompiers combattent le feu, le feu combat l'eau et les pompiers, vous et le ciel, le ciel est vous, un combat sans fin ni horizon

 

Clarisse 1S2

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Rédigé par Clarisse 1S2

Publié dans #Printemps des poètes 2016 en 1ère

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Publié le 23 Mars 2016

"C'est dans le ciel que faut gifler l'air qui nous ébahit."

p.20

p.26 

p.16

p.46

 

Noémie - 1L

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Rédigé par Noémie Le Quément - 1L

Publié dans #Printemps des poètes 2016 en 1ère

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Publié le 23 Mars 2016

Jaime ce recueil car Rémi Cecchetto joue avec les sons en utilisant habilement différentes sonorités et la ponctuation. De plus, il s'intéresse aussi au visuel de ses poèmes, ce recueil et donc en harmonie et n'est pas monotone, ses poèmes peuvent être courts mais aussi longs, il joue avec la mise en page, et, cela devient donc très visuel. Il y en a donc pour tous les goûts car l'ensemble est original et sans ennui.

Noémie - 1L
 

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Rédigé par Noémie L e Quément - 1L

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Publié le 23 Mars 2016

Certains d'entre nous tous n'appellent pas le ciel comme on appelle un chat, ils épellent le ciel,

C I E L , ils y mettent

Chaos

Inéluctable tumulte

Évident désordre

Le paradis des nuages

→ Inspiré par le poème de la page 15

Clarisse 1S2

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Rédigé par Clarisse 1S2

Publié dans #Printemps des poètes 2016 en 1ère

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Publié le 23 Mars 2016

Si il ne fallait retenir qu'une seule phrase ou qu'un seul vers du recueil, je choisirais:

 

« Il y a l'amour qui est toute notre vue, et le ciel qui est toute notre vue » - page 49

 

Marilou - 1L

 

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Rédigé par Marilou, 1°L

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Publié le 23 Mars 2016

Qu'un œil se mette au ciel

Et y plonge, y plonge vraiment.

Que les questions de l'existence prennent corps

Que les questions de notre existence prennent corps

Et le secouent.

Les questions de l'existence vivent au ciel,

Viennent au ciel,

Passent par l’œil,

Descendent, secouent notre corps

En secouant les pensées qui sont en notre corps.

Le ciel est un point d'interrogation

Le creuset de tous les points d'interrogation.

Marine N. - 1L

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Rédigé par Marine.N - 1L

Publié dans #Printemps des poètes 2016 en 1ère

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Publié le 23 Mars 2016

 "Le ciel c'est toujours la même salade, la même salade de lever, de coucher, de bleu, de gris, de blanc, de orange, de rose, toujours la même salade de grand vent, petit vent, pas de vent, toujours la même salade, un jour on en a marre de toujours la même salade, on n'en peut plus de toujours la même salade du ciel, on n'en peut plus parce que nous aussi c'est toujours la même salade, tous les jours la même salade, tous les mois la même salade, d'année en année toujours la même salade, on repique toujours sans cesse sans discontinuer la même salade, on repique dedans tête la première, c'est le ciel qui met ça en œuvre, sans le ciel on n'en serait pas là, ce sont ses boucles qui font ça, qui orchestrent ça, faudrait l'éteindre vraiment pour pouvoir étreindre vraiment quelque chose d'autre que la même salade, salade, salade, salade, salade, salade, salade, salade."

 

A travers ce poème, Rémi CHECCHETTO a voulu nous rappeler la routine de la vie. Tout d'abord, il parle du ciel et il dit que, quel que soit le temps que l'on aura aujourd'hui ou demain, il finira, un jour ou l'autre, par se répéter puisque c'est ainsi qu'est le temps (au sens météorologique).

Il dit ensuite que tout se répète également dans notre vie, que tout n'est que répétition et que tout ce qui peut paraître un peu original finira par devenir routine et par se réitérer. Après, il accuse le ciel de tout mettre en œuvre pour que tout ne soit que routine. «sans le ciel on n'en serait pas là»:  il dit clairement que c'est le ciel le fautif dans l'histoire et que s'il ne se ''répétait'' pas tout le temps, nous et notre vie ne ferions pas exactement la même chose. Il accuse les «boucles» du ciel de «toujours la même salade». Il souhaite «l'éteindre», sans doute parle-t-il des cieux.

Marine N. - 1L

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Rédigé par Marine.N - 1L

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Publié le 23 Mars 2016

poème p.44
poème p.44

Amélie, 1S2

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Rédigé par Amélie 1èreS2

Publié dans #Printemps des poètes 2016 en 1ère

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Publié le 23 Mars 2016

Je trouve que le feu nous reflète bien, nous sommes la flamme,

Flamme de notre vie, de la leur, et des autres,

Les autres ne s'en doutent pas, mais en brûlent,

Brûlent leurs sentiments tant ils sont effrayés.

 

Célia - 1L

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Rédigé par Célia Herry 1L

Publié dans #Printemps des poètes 2016 en 1ère

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